• Voici une petite séance photo du bg de la famille, tout récemment customisé (d'ailleurs ce sont ses custos définitives), alors j'espère qu'il vous plaira !!! *(^o^)* 

     

     

    Pure Peter

     

     

    Pure Peter

     

     

    Pure Peter

     

     

    Pure Peter

     

     

    Pure Peter

     

     

     


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  • Glenn

     

    Nom : ? (Vous le saurez un jour ...)

    Prénom : Glenn

    Âge : 13 ans

    Modèle : Isul Glen

    Histoire : Prochainement dans le tome 2 de mon roman "Rébellion"

     

    Caractère :               Il aime :                     Il n'aime pas :

    -pourri-gâté                   -la richesse                             -qu'on lui mente

    -naïf                               -l'or                                        -qu'on le contredise

    -égocentrique                 -qu'on le complimente            

    -triste                            -sa soeur

    -mal dans sa peau           -le thé                

    -tourmenté

     

    Glenn

     

    Glenn

     

    Glenn

     

    Glenn


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  • De précieuses informations ...

     

     

     Yumie regardait autour d'elle. Ici, dans cette enceinte close et entourée de verdure, elle ne pouvait faire qu'une seule chose : attendre. Attendre la mort. Attendre de mourir, ou attendre que quelqu'un d'autre meurt pour lui permettre de vivre. S'il fallait qu'elle choisisse, elle n'aurait aucune hésitation : malgré le fait qu'elle aurait aimé rester plus de temps auprès de Midori, qu'elle venait de retrouver, elle ne voulait pas qu'à cause d'elle quelqu'un ne puisse plus voir une nouvelle fois le soleil se lever. Que quelqu'un ne puisse plus revoir le visage de ses amis, de sa famille. S'il fallait qu'elle choisisse, elle serait prête à mourir.

    « -De toute façon, ça m'étonnerais que Midori me ressuscite. C'est elle qui m'a tué après tout ! D'ailleurs, sait-elle seulement qu'elle peut le faire ? » se dit Yumie. Mais elle fut interrompue dans ses pensées par Gaïa, se dirigeant vers elle de sa démarche fluide et gracieuse, comme flottant au-dessus du sol.

    « -Ne t'inquiète pas, elle saura.

    -Hein ? Mais comment savez-vous que je me posait-...

    -Yumie, n'aurais-tu pas oublié que je sais tout ? la coupa Gaïa. Elle saura comment faire, à moins qu'elle ne le sache déjà.

    -Comment pourrait-elle le savoir ? Ah mais oui, si elle pratique la magie, elle est sûrement au courant de ce genre de chose …

    -Hum, non, je crois que tu n'a pas tout à fait compris.

    -Compris quoi ? l'interrogea Yumie, perplexe.

    -Eh bien, le sortilège qui t'a été lancé ne venait pas de Midori.

    -Comment ? Mais bien sûr que si, cela venait de son violon, et c'est elle qui en jouait, c'est forcément elle !

    -Non. Je l'aurais senti. Effectivement, le sortilège à été lancé à partir du violon. Mais la source même du sortilège ne venait pas de lui, ni même de Midori. Il venait d'autre part. Et cette personne, ou cette chose qui en est la cause à réussi à contrôler le corps de ton amie, afin qu'il ou elle puisse utiliser la magie sur toi, sans être repéré(e), et par le biais du violon.

    -Mais pourquoi utiliser le violon si cette personne ou chose avait le pouvoir d'envoyer le sort directement ? Je comprends qu'il ou elle ne voulait pas être repéré(e), mais si il/elle contrôlait Midori, le problème ne se posait pas non ?
    -Effectivement, tu as raison, il/elle en avait le pouvoir. Mais pas Midori. Or c'est elle qui contrôlait le violon (même si c'était contre sa volonté), alors il fallait que le sortilège passe par quelque chose pouvant filtrer des sorts. Cette personne/chose devait être très expérimenté(e) et informé(e) pour savoir que les objets sont la meilleure façon de lancer un sortilège sans passer par le biais d'un corps à la structure magique.

    -Donc si j'ai bien compris, Midori n'y est pour rien ?

    -Non. Elle, tout comme toi, a été victime du sortilège. Seulement pas de la même façon.
    -Mais, si ce n'est pas elle la cause du sortilège, ce n'est donc pas à elle de me ressusciter ?

    -Eh bien si. Car la règle « c'est celui qui à envoyé le sort qui ressuscite » marche même si la personne en question était elle-même ensorcelée. Je suis désolée, mais c'est comme ça. C'est à l'enveloppe charnelle de la cause du sortilège de te ressusciter.

    -Roh, mais qui a inventé ces stupides règles à la fin ? Midori n'y est pour rien, alors pourquoi ce serrait à elle de tuer quelqu'un d'autre ?

    -Parce que c'est comme ça. C'est pour ça que je dis que la personne/chose à l'origine du sortilège devait être vraiment bien informé(e), car il/elle savait que ce serrait à Midori d'en payer les conséquences.

    -Je vois … répondit Yumie.

    -Désolé, je dois partir.

    -Partir où ? Il n'y a rien ici.

    -Je ne peux pas te le dire. Ils me l'ont interdit. J-J'aurai aimé rester plus longtemps, mais cela m'est impossible. Je suis désolée. Je reviens demain. Promis.

    -Non, attendez ! Ne me laissez pas-... »

    Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que la femme s'éloignait et que le feuillage l'entourant se referma.

    « -... seule ... »

     

    ***

     

    Midori se leva. Elle était dans sa chambre, effondrée, toute habillée. Dans son sommeil, elle avait rêvé. Elle avait rêvée qu'une lumière été apparue au-dessus d'elle, une lumière blanche et éclatante. Etrangement, on pouvait la regarder sans se brûler les yeux. C'était même plutôt reposant. En l'observant un petit peu plus, Midori avait remarqué qu'elle avait une forme. La forme d'une silhouette. D'une silhouette de femme. Une voix s'élevait. Auparavant, ce n'était qu'un bourdonnement. Puis ce bourdonnement s'est petit à petit transformé en chuchotement, et au bout de quelques instants, Midori réussit à distinguer des paroles. Elle disait et répétait, d'une voix étrangement saccadée :

    « -Tu l'as tuée. Mais tu peux la ressusciter. Echange leurs âmes. Si tu tue quelqu'un d'autre, tu peux la ressusciter. Couteau d'argent. Couteau d'argent. Tue l'autre avec un couteau d'argent. Alors ton amie reviendra. »

    La voix répétait ces mots, encore et encore, jusqu'à ce que la lumière disparut, la voix avec elle.

    Midori ne comprenait pas bien. Ce rêve semblait si réel … Elle détourna la tête, et son regard fut attiré par un objet posé sur sa table de chevet. Un couteau en argent.

     


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  • Coucou !!!

    Aujourd'hui je vous poste une petite séance photo de deux Dolls de ChloéToutSimplment ^3^ !!!

    Si vous ne la connaissez pas, c'est une pullipienne et une YouTubeuse géniale, en plus ma meilleure amie ^.*.

    Le lien de sa chaîne YT 

    https://www.youtube.com/channel/UCAqF0qUzZxCvi0ZkkJZuyGA

    Donc voilà, j'espère que ça va vous plaire (malgré le peu de photos ^.^).

     

    Les Dolls de ChloéToutSimplement

     

    Les Dolls de ChloéToutSimplement

     

    Les Dolls de ChloéToutSimplement

     

    Les Dolls de ChloéToutSimplement

     

    Les Dolls de ChloéToutSimplement

      

    Les Dolls de ChloéToutSimplement

     

     


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  •  Gaïa

     

     

    « -C-Comment ? »

    Yumie était stupéfaite. Ses pensées semblaient … bloquées. Trop de choses avaient été dites. Tout se bousculait dans sa tête : son ensorcèlement, sa mort, Midori, le Néant, l'Abîme, cette femme dont elle ne savait rien mais qui savait tout …

    « -Vous êtes fatiguée. Reposez-vous. »

    A peine la femme eut-elle prononcé ces mots que le grand arbre se trouvant derrière elle se mit à frémir ; les racines sur lesquelles elle se trouvait assise la saisirent, moins brutalement cependant que la dernière fois, puis la rapprochèrent un petit peu plus du tronc de cet arbre, pour venir la poser sur un lit, formé par les racines entremêlées. Les branches de l'arbre, auparavant très haut dans le semblant de ciel du Néant, se tordirent et retombèrent en formant une sorte de dôme au-dessus de Yumie, créant ainsi une seule et unique pièce entourant le lit sur lequel elle se trouvait.

    « -Je suis désolée Yumie. J'aurais voulu vous en dire plus, mais ça m'est impossible pour le moment.

    -Mais pourquoi ? » l'implora la jeune fille.

    Elle ne répondit pas, et détourna le regard.

    « C'est bizarre, se dit Yumie, durant un instant, j'ai cru voir ses doigts s'évaporer, comme devenir poussière. »

    Le dôme se referma petit à petit, pour ne plus former qu'une demi sphère, sans porte ni fenêtre, sans lumière. Mais étrangement, cela n'en devenait pas austère ni étouffant : elle se sentait en sécurité.

    La dernière image qu'elle eut du monde extérieur, si seulement on peut appeler cela un monde, fut la silhouette de la mystérieuse femme, s'éloignant vers un horizon inconnu, ses membres semblant se décomposer au fur et à mesure de ses pas.

     

    ***

     

    Midori ouvrit les yeux. Elle regarda autour d'elle. C'est étrange, elle ne se souvenait pas s'être endormie, et encore moins dans un parc. Puis soudain, un flash. Une lumière inonda ses yeux, et sa tête commença à devenir lourde, lourde … Puis des images. Son violon. May. Yumie. Yumie. Elle l'avait tuée.

    Ses yeux s'embuèrent de larmes. Pourquoi ? Pourquoi avait-elle fait ça ?!

    Elle s'en souvenait maintenant. Quand elle discutait avec les filles dans le salon, une voix lui avait parlé. Elle lui disait :

    « -Montre leur, vas-y, montre leur. »

    De là, elle avait senti son corps se lever, sa bouche s'ouvrir et laisser passer des mots, sans qu'elle ne le décide. Elle se souvint avoir marché jusqu'à ce parc, sans même savoir pourquoi. Elle ne contrôlait rien. Puis, sans même se rendre compte de ce qu'elle faisait, voilà qu'elle voyait son amie, tordue de douleur à ses pieds, sans pouvoir rien n'y faire. Midori se leva. Dans sa tête, toujours les mêmes questions, les mêmes phrases :

    « Pourquoi moi ? Comment cela se fait-il ? Pourquoi n'ai-je pas pu y remédier ? »

    Elle courait. Elle courait le plus vite qu'elle pouvait. Elle voulait partir. Loin. Seule. Elle courait, pensant que cela aller lui permettre d'oublier. Autour d'elle, le bruit de la ville éveillée bourdonnait : cela devait être l'après-midi, quatorze heure ou quelque chose comme ça, elle ne savait pas après tout. Elle courait, encore et encore, les yeux fermés mais pourtant fixés sur une seule pensée : oublier.

    Quand elle les rouvrit, une porte claquait derrière elle, et elle se tenait au milieu du salon qu'elle avait quitté le jour, la semaine ou peut-être même le mois dernier, après tout, elle ne savait pas. Ses pas l'avaient inconsciemment menée ici. Elle se dirigea vers sa chambre, et tomba sur son lit. Elle ferma les yeux, et s'endormit, avec l'incompréhension et le doute comme dernière pensée.

     

    ***

     

    « -Bonjour Yumie. Vous avez bien dormi ? »

    Yumie ouvrit les yeux. Autour d'elle, de la verdure, des branches, des feuilles, le tout formant une sorte d'ombre au-dessus de sa tête. Mais un point lumineux, semblant éclairer ce semblant de pièce, attira son regard : c'était la femme, oui, la mystérieuse femme.

    « -Euh …, oui madame.

    -Très bien, vous entamez votre premier jour en tant que prisonnière du Néant.

    -Prisonnière ?!

    -Oui. C'est comme ça, je ne peux rien n'y faire. Vous devez rester là, au creux du Grand Arbre*, jusqu'à ce que le jugement final soit fait. Ah, et aussi, je ne peux pas rester plus d'une heure à vos côtés. Sinon …

    -Sinon ? demanda Yumie.

    -Non rien, ce n'est pas important, lui répondit la jeune femme tout en détournant le regard, gênée.

    -M-Madame, j'avais une question, demanda timidement Yumie.

    -Oui ?

    -Comment vous appelez-vous ? »

    La femme eût un mouvement de recul.

    « -Désolé, je ne veux pas vous mettre dans l'embarras, mais vous avez l'air de tout savoir de moi, et moi je ne sais rien de vous, pas même votre nom.

    -Hum … oui, je comprend. C'est juste que … non, rien, rien d'important. Je … je m'appelle Gaïa. »

     


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